Agence de communication digitale implantée à Hyères et dédiée aux métiers de la transaction immobilière, partenaire numéro un en France des indépendants, La Boîte Immo s’engage dans la Convention des entreprises pour le climat Provence Corse.
Fondateur-dirigeant de La Boîte Immo, Olivier Bugette n’en est pas à son coup d’essai s’agissant d’écoresponsabilité. Depuis 6 ans, nombre d’actions sont déployées par cette société de communication digitale positionnée à 100% au service des professionnels de l’immobilier, qui revendique le leadership chez les indépendants avec 8 000 agences en portefeuille (soit un tiers du marché). Plantation d’arbres et implantations de ruches sur son vaste site « La Pinède » de Hyères érigé en lieu de vie en plus d’être un cadre de travail, gestion suivie de ses déchets et recyclage, réduction de consommations diverses de matériels, incitation (y compris fiscale) au covoiturage, mais aussi participation à du reboisement en soutien d’ONG…, les opérations de protection de la planète se multiplient au sein de cette entreprise de près de 200 salariés à la croissance impressionnante (et maîtrisée) depuis 15 ans.
Démarche citoyenne
Conjointement à l’élargissement de son accompagnement des professionnels de l’immobilier, de l’organisationnel à l’opérationnel via nombre d’outils développés en interne (jusqu’à la formation certifiée Qualiopi), la Boîte Immo s’engage en effet dans la Convention des entreprises pour le climat (CEC) Provence Corse. Une déclinaison régionale de la première édition nationale, au sein de laquelle 70 structures vont brainstormer ensemble autour du bien-être de la planète. Sont impliqués chaque dirigeant et son « planète champion », soit 140 personnes, en l’occurrence Olivier Bugette et sa directrice des ressources humaines, Carine Echassoux. « Nous allons créer une charte de 60 points pour réduire au mieux notre impact et contribuer à inverser la vapeur au travers de nos décisions qui seront publiques. Il s’agit de passer d’une entreprise polluante à une entreprise neutre, puis régénératrice », revendique le patron de La Boîte Immo. « On sera toujours polluant, mais si on compense en mettant en place des actions vertueuses, alors on peut devenir une entreprise qui fait du bien à la planète. C’est l’objectif de la CEC et de notre implication ». Au-delà de ce travail collectif et citoyen, la construction en cours de lancement du petit frère de son siège (1 300 m² contre 1 800 m² pour le bâtiment initial), sur un terrain voisin, fera l’objet d’une attention particulière, la plus écologique possible, sur les matériaux comme sur le recours aux circuits courts de corps de métiers du BTP. Une nécessité d’extension au regard de son expansion (la barre des 20 millions de chiffre d’affaires sera franchie cette année, le double de 2018) et des quelque 140 nouvelles embauches prévues d’ici fin 2014.
Marc-Antoine Moché, secrétaire général de l’Union Patronale du Var, a fait partie des pionniers de la Convention des entreprises pour le climat, lors de la première « classe » nationale, de mi-2021 à mi-2022.
Témoignage :
La CEC initiale rassemblait 150 entreprises et leurs binômes de dirigeants, dont le groupe M-Energy qu’il représentait, au nom de la société filiale K9-Ginouves, à La Garde. « En pleine diversification, cherchant à faire évoluer notre activité du presque tout fossile à un modèle plus vertueux, voire régénératif, il nous a semblé essentiel de participer à cette belle promesse d’avenir d’un monde meilleur », souligne-t-il. « Cette première convention est partie de 0, nous avons créé une feuille de route vers les horizons 2030 puis 2050. A la faveur de 6 sessions de travail de 2/3 jours, rassemblés en groupes dans des « camps de base », avec des coachs de très haut niveau, à un rythme extrêmement soutenu, nous avons produit un contenu inimaginable. C’est une extraordinaire aventure humaine, pédagogique, de partage de valeurs avec des sachants qui ne savent pas tout et progressent en réseau. Cela change la vision et la place dans le monde de chacun. C’est une prise de conscience violente et nécessaire, existentielle, qui dépasse le cadre professionnel. Une remise en question sur ses capacités, sur son rôle, sur le sens que l’on veut donner à sa vie, à celle des autres aussi. Nous sommes tous en contact et nous continuons d’œuvrer dans nos activités avec ce regard augmenté, en éveil. C’est aussi une valeur ajoutée que j’essaie modestement d’apporter au sein de l’Union Patronale du Var ».
L’homme n’est rien d’autre que la somme de ses actes
QVT, santé, RSE, économie circulaire, culture…, autant de sujets potentiels, aux côtés de l’actualité d’Enosys, service UPV d’assistantes sociales et de psychologues du travail.